Sérum, saison 1

Sérum (intégrale saison 1)
Co-écrit avec Fabrice Mazza
J’ai Lu (avril 2012)
800 p.

Une injection. 
Sept minutes pour accéder au subconscient. Un simple carnet pour décrypter des visions fantasmagoriques et seulement quelques jours pour empêcher le pire. Arthur Draken est-il un psychiatre de génie ou un dangereux criminel? Alors que s’enchaînent meurtres, enlèvements et conflits politiques, comment ne pas mettre en doute la parole de Draken ?

Sérum est un roman-série, co-écrit par Henri Lœvenbruck et Fabrice Mazza (auteur du Grand livre des énigmes), divisé en deux saisons de six épisodes, donc la deuxième saison devrait sortir en 2020. Bonus : Les auteurs ont également composé de la musique qui accompagne la lecture de ce roman…
Le docteur Draken est un psychiatre sulfureux. Son secret : un sérum facilitant l’induction hypnotique. Quand il pique ses patients, il a sept minutes pour découvrir les secrets enfouis au plus profond de leur subconscient. Sept minutes pour trouver la vérité. Au-delà, il le sait, il met leur vie en péril.
Atteinte d’une balle en pleine tête, une femme est retrouvée dans un parc de New York. Sortie du coma, elle souffre d’une amnésie rétrograde : elle ne se souvient plus de rien, ni de son nom, ni de son passé ni, surtout, de la raison pour laquelle elle a été agressée.
En dernier recours, la police fait appel aux services du docteur Draken. Ses séances d’hypnose l’aideront-elles à retrouver la mémoire ?
Qui est cette femme ? Pourquoi a-t-on tenté de l’assassiner ? Pourquoi n’a-t-elle aucunes empreintes digitales au bout des doigts ? Et, surtout, comment peut-elle se souvenir d’événements qui n’ont pas encore eu lieu, et qui, chaque fois, finissent par se produire ?
Pour découvrir la vérité, Draken s’arrêtera-t-il à temps ?

Le Mystère Fulcanelli

Le Mystère Fulcanelli
(série Ari Mackenzie)
Flammarion (octobre 2013)
507 p.
Un meurtre dans une vieille église de Séville… Un assassinat dans une bibliothèque parisienne… Un ancien manuscrit dérobé… Le lien entre ces affaires : Fulcanelli, le nom d’un mystérieux alchimiste du XXe siècle. Depuis près de cent ans, chercheurs et historiens tentent de découvrir qui se cache derrière cet énigmatique pseudonyme. En acceptant de mener l’enquête, Ari Mackenzie, ancien commandant des services secrets, plonge dans les milieux ésotériques du siècle dernier. Mais on ne pénètre pas les mystères de la pierre philosophale sans en payer le prix !

Le Mystère Fulcanelli est la troisième enquête d’Ari Mackenzie, ce vilain petit canard des Renseignements Généraux, spécialisé dans la lutte contre les dérives sectaires. Il fait suite au Rasoir d’Ockham et aux  Cathédrales du vide.

PRESSE :

« L’auteur a atteint, tout simplement, le sommet de son art. Une fabuleuse chasse au trésor, et le mystère d’un siècle dévoilé…» (Julie Malaure, Le Point)

« Presque aussi bon que de trouver la formule de la pierre philosophale. » (Les Echos, Pierrick Fay)

« Un modèle du thriller ésotérique » (Baptiste Liger, L’Express)

« Un livre à la fois érudit et haletant » (Michel Paquot, L’Avenir)

« L’alchimie parfaite entre érudition documentée et scénariopalpitant, non sans humour. Le thriller de cet automne ! » (La Voix du Nord)

Nous rêvions juste de liberté

Nous rêvions juste de liberté
Flammarion (avril 2015)
423 p.
«Nous avions à peine vingt ans et nous rêvions juste de liberté.» Ce rêve, la bande d’Hugo va l’exaucer en fuyant la petite ville e Providence pour traverser le pays à moto. Ensemble, ils vont former un clan où l’indépendance et l’amitié règnent en maîtres. Ensemble ils vont, pour le meilleur et pour le pire, découvrir que la liberté se paie cher. Nous rêvions juste de liberté réussit le tour de force d’être à la fois un roman initiatique, une fable sur l’amitié en même temps que le récit d’une aventure. Avec ce livre d’un nouveau genre, Henri Loevenbruck met toute la vitalité de son écriture au service de ce road-movie fraternel et exalté.

Encensé par la presse, classé n°1 au palmarès MSN des 10 meilleurs romans de la décennie, Nous rêvions juste de liberté est sans doute le roman le plus personnel de Henri Lœvenbruck, son premier à aller flirter du côté de la littérature dite blanche. Le roman est en cours d’adaptation au cinéma ainsi qu’en bande dessinée.

PRESSE :

« Un roman puissant » (Michel Paquot, L’Avenir)

« Cette équipée sauvage parfaitement écrite n’a rien d’artificiel. Elle est celle du cœur et de la rage » (Pierre Vavasseur, Le Parisien)

« Un grand livre sur l’amitié, la loyauté et la trahison. Un véritable uppercut. » (Claire Julliard, L’Obs)

« Le meilleur roman de la décennie. » (Palmarès MSN)

« Un road-movie sur l’amitié et la trahison, pétaradant et bourré d’émotions » (Jean-Claude Vantroyen, Le Soir)

« Un road-movie remarquable » (Guy Duplat, La Libre Belgique)

« Juste magnifique ! » (Le Républicain Lorrain)

« Un grand livre… La marque des fictions puissantes. » (Jean-Rémi Barland, La Provence)

« Un roman puissant. Un coup de poing à l’estomac ! On sort le souffle coupé. » (Michel Paquot, L’Avenir)

« Un virage pris à toute allure, un excellent roman ! » (Métro)